Lamour ne se divise pas, il se multiplie Chacun refait sa vie mais on reste une famille On s'aimera encore plus, on s'aimera encore mieux L'amour gagne toujours, l'amour gagne toujours Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh Mmh, mmh, mmh, mmh. Tu ne m’avais pas dit que le samedi tu regardais les dessins animĂ©s ? » Si, mais j’ai pensĂ© que c’était plus intĂ©ressant d’occuper ces deux heures Ă  te faire dĂ©couvrir un lieu vraiment unique en son genre. Qu’en dis-tu ? » Que c’est vraiment trĂšs gentil de ta part. OĂč allons-nous ? » Demanda Manon reconnaissante de ce sacrifice. Ferme les yeux et tu en seras encore plus Ă©merveillĂ©e. » Ils se mirent en route, Manon tenant la main de son guide, avançant Ă  pas mesurĂ©s, se demandant ce qui l’attendait. ça y est ! Maintenant tu peux les ouvrir ! » Lança le jeune garçon trĂšs excitĂ© Ă  la perspective d’offrir un spectacle magnifique Ă  sa nouvelle amie. 
 » Aucun son ne sortit de la bouche de Manon tant la vision qu’elle avait devant ses yeux l’émerveilla. Au premier regard, elle s’imagina princesse courant Ă  travers cette place immense pour rejoindre la volĂ©e d’escaliers larges comme une avenue et encadrĂ©s par deux lions massifs en bronze, la gueule ouverte laissant entrevoir d’énormes crocs acĂ©rĂ©s et l’Ɠil menaçant. Mais elle n’aurait pas peur, elle saurait qu’ils Ă©taient lĂ  pour la protĂ©ger au moindre danger, se transformant en redoutables fĂ©lins agiles et forts. Elle pĂ©nĂštreraient alors dans ce somptueux palais avec son drĂŽle de toit recouvert de tuiles en terre cuite sur lesquelles Ă©taient posĂ©es une myriade de dĂ©corations, et puis elle courait d’une salle Ă  l’autre pour y retrouver son ami Bagao. Ils participeraient enfin Ă  un bal fabuleux donnĂ© en leur honneur ! Ses yeux brillaient de malice et de bonheur, elle se sentait lĂ©gĂšre et envahie d’une douce magie qui lui faisait traverser les siĂšcles en un battement de cils. C’est la CitĂ© Pourpre Interdite
 » DĂ©clara fiĂšrement Bagao comme pour faire rĂ©agir son amie. C’est sublime ! » RĂ©pondit Manon. Merci ! Merci ! De m’avoir amenĂ© ici. Ce palais est extraordinaire. Pourquoi porte-t’il ce nom ? » L’interrogea t’elle ensuite, intriguĂ©e. Et bien, le nom de CitĂ© Interdite vient du fait qu’il s’agissait d’un palais au sein de la CitĂ© ImpĂ©riale de PĂ©kin qui Ă©tait rĂ©servĂ© Ă  l’Empereur, sa famille et ceux qui Ă©taient Ă  leur service. Et le commun des mortels comme toi et moi n’avait pas le droit d’y pĂ©nĂ©trer. L’adjectif Pourpre » est une rĂ©fĂ©rence Ă  l’étoile nommĂ©e Zǐwēi XÄ«ng qui signifie la petite Ă©toile violette », donc pourpre, dans l’astronomie chinoise. Elle correspond en fait Ă  votre Ă©toile polaire. Comme le palais se trouvait au centre de PĂ©kin et reprĂ©sentait le centre administratif de la Chine, on lui donna un nom qui Ă©voquait l’étoile qui est au centre de la rotation du firmament cĂ©leste. » Waouh ! Tu en sais des choses ! » Remarqua Manon trĂšs impressionnĂ©e par la culture de Bagao. Et maintenant, on a le droit d’y entrer ? » Oui, depuis la RĂ©volution, tout a changĂ©. Tu veux voir comment c’est Ă  l’intĂ©rieur ? » Proposa t’il. Oui, bien sĂ»r ! » RĂ©pondit Manon, impatiente de reprendre son rĂȘve Ă©veillĂ© de princesse. Et ce rĂȘve fut encore plus merveilleux qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Chaque piĂšce Ă©tait plus Ă©clatante que la prĂ©cĂ©dente. À prĂ©sent, le palais Ă©tait devenu un musĂ©e qui dĂ©voilait les trĂ©sors impĂ©riaux de la civilisation chinoise ancienne. À peine, posait-elle son regard sur un vase monumental ou un trĂŽne entiĂšrement recouvert d’or qu’elle s’imaginait faisant un saut dans le temps, changeant ses vĂȘtements de ville pour une parure chatoyante et raffinĂ©e, faisant son entrĂ©e dans le monde, pĂ©nĂ©trant dans des salles aux dĂ©cors fastueux rĂ©servĂ©es aux proches de l’Empereur, jouant Ă  s’en donner le tournis Ă  une kyrielle de jeux ayant appartenus Ă  des enfants d’un autre siĂšcle, d’un autre monde
 Tandis que Bagao la guidait d’une salle Ă  l’autre, elle s’abreuvait de dĂ©tails, d’anecdotes pour enrichir ses chimĂšres et les rendre encore plus fĂ©eriques. Lorsqu’ils sortirent enfin, Manon avait des milliers d’étoiles pleins les yeux. J’aurais adorĂ© vivre Ă  cette Ă©poque ! » Lança t’elle en tournoyant sur elle mĂȘme comme si elle Ă©tait au bal. Pas moi ! » RĂ©torqua aussitĂŽt Bagao. Pourquoi ? » Demanda Manon, s’arrĂȘtant net, Parce que si j’avais vĂ©cu Ă  cette Ă©poque en Ă©tant dans la mĂȘme classe sociale qu’actuellement, je serais certainement mort de faim avant d’avoir atteint ma majoritĂ©. C’était une Ă©poque faste pour les Empereurs mais terrible pour les paysans et le peuple en gĂ©nĂ©ral. » RĂ©pondit il avec aplomb. Mais si tu avais travaillĂ© dur comme tu le fais, tu aurais pu avoir une vie meilleure une fois adulte, non ? » SuggĂ©ra Manon qui ne voulait pas quitter ses illusions aussi brusquement. Non ! Ă  l’époque, tu mourrais comme tu naissais. Il n’y avait pas d’évolution possible ! Heureusement que les choses ont changĂ©. Depuis quelques temps, on sait que si l’on s’en donne les moyens on peut arriver Ă  changer son destin. C’est ce que me disent chaque jour mes parents, et c’est pour cela qu’ils sont aussi durs avec moi au sujet de la scolaritĂ©. » Je connais bien ce refrain, ma belle-mĂšre me le rĂ©pĂšte sans arrĂȘt. Elle n’arrĂȘte pas de me dire que je peux faire tout ce que je veux de ma vie, que je peux devenir qui je souhaite, mais que pour ça il faut que j’aille au bout des choses. Que lorsque je m’engage, je ne dois pas baisser les bras et laisser tomber au premier obstacle. MĂȘme si je comprends ce qu’elle me dit, parfois ça m’énerve. D’autant qu’elle est aussi sur mon dos au sujet de pleins d’autres choses, comme les bonnes maniĂšres par exemple se tenir droit, lever son coude, ne pas parler en mangeant, boire sans faire de bruit, ne pas interrompre une conversation
 Elle a beau m’expliquer que c’est pour moi qu’elle fait ça, que ça me servira plus tard. Que d’avoir appris ces rĂ©flexes jeunes, ça me permettra de le faire sans rĂ©flĂ©chir quand je serai grande, ça m’agace et de temps en temps, j’ai le sentiment de ne rien faire bien, et lĂ  c’est pire ! ça me met en colĂšre et ça me fait aussi de la peine. » C’est rigolo, nous habitons Ă  des milliers de kilomĂštres l’un de l’autre et nous ne sommes peut-ĂȘtre pas si diffĂ©rents aprĂšs tout ! » Lança Bagao dans un sourire, pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre. Allez viens, il faut que je te montre quelque chose d’autre ! » Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. “ L'Ă©pĂ©e est l'axe du monde et la grandeur ne se divise pas. ” [ Charles de Gaulle] Ma note : Pas de note “ La dĂ©mocratie, cela ne consiste pas Ă  s'unir, comme l'annoncent sans cesse les conservateurs attardĂ©s. C'est au contraire l'art de se diviser. ” [ Alfred Sauvy] Ma note : Pas de note “ Les hommes Ă 
Bienvenue Ă  la Halte au foyer Les histoires du coeur Vous y trouverez des trĂ©sors du coeur dont l'amour, la paix et l'espĂ©rance Ă  travers des histoires vraies, des histoires de l'Ăąme et de la vie. Je vous invite Ă  prendre le temps, ne serait-ce que 5 minutes. Le temps d'arrĂȘter et de prendre soin de votre intĂ©rieur, de votre coeur. Venez vous rĂ©chauffer et laissez-vous bercer par les vagues de la vie. indique les nouveautĂ©s Ce qui est merveilleux avec l'Amour, c'est qu'il ne se divise pas... Il se multiplie. Copyright © [ Les trĂ©sors de Catherine ] Tous droits rĂ©servĂ©s
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Il est 8h30 un mardi matin, je suis sur les bancs de l’école dans ma VallĂ©e de Joux natale, au cours d’histoire. Le professeur fait une Ă©niĂšme plaisanterie pour dĂ©nigrer les suisses allemands. Cela me peine car c’est ma langue maternelle, ma culture grĂące Ă  ma mĂšre bernoise mĂȘme si je suis nĂ©e en Suisse romande de mon pĂšre vaudois. Et en Suisse allemande, mĂȘme si je n’ai pas d’accent quand je parle le bernois, je reste la Romande ». Je porte cette souffrance de n’ĂȘtre pas entiĂšrement d’ici, ni de lĂ -bas, comme divisĂ©e en deux. Plus tard, pendant mes Ă©tudes Ă  l’Ecole HĂŽteliĂšre de Lausanne, j’ai cĂŽtoyĂ© des Ă©tudiants venant du monde entier. Une amie de l’époque qui a vĂ©cu Ă  plusieurs endroits m’a alors dit un jour Je porte mes racines dans mon cƓur. » Pourtant, je continuais Ă  ressentir cela comme une division, me sentant moitiĂ©-moitiĂ© ». Par la suite, un beau jour, comme cela, j’ai dĂ©cidĂ© que je n’étais pas une demi » ou deux demis portions ». DorĂ©navant, si on me pose la question de savoir d’oĂč je viens, je dirai que je suis entiĂšrement combiĂšre » comme on nomme les habitants de la VallĂ©e de Joux et entiĂšrement suisse allemande. L’amour pour nos racines, c’est comme pour nos enfants, il ne se divise pas mais au contraire, il se dĂ©multiplie. Aujourd’hui avec cette attitude, j’ai mĂȘme plusieurs patries, dont la Sicile avec la force de ses volcans, Shanghai avec son dynamisme hors du commune et l’Ecosse dont les paysages ressemblent beaucoup Ă  mes montagnes. A chaque fois, j’éprouve dans ces lieux un sentiment de rentrer chez moi » et une attirance puissante. Pour l’entrepreneur, c’est la mĂȘme chose. Une de ses forces rĂ©side dans sa pluridisciplinaritĂ© et l’attirance pour les divers mĂ©tiers. En entreprise, il faut ĂȘtre des spĂ©cialistes du marketing ou des finances par exemple. Alors que notre amour pour telle ou telle spĂ©cialitĂ© peut se dĂ©multiplier. Nous pourrions cĂ©lĂ©brer la pluridisciplinaritĂ© et les multiples facettes des humains qui peuvent ĂȘtre tour Ă  tour spĂ©cialisĂ©s dans la vente puis les finances. D’ailleurs, nous voyons des gĂ©nĂ©rations arriver avec non pas un mais deux ou trois mĂ©tiers. Et c’est bien l’unicitĂ© de la combinaison de leurs diverses compĂ©tences qui en fait leur force, leur USP sur le marchĂ© du travail. DĂšs lors, il serait judicieux de ne plus diviser les gens en spĂ©cialistes ou Ă©tiqueter les gens uniquement par mĂ©tier mais de vĂ©ritablement combiner leurs talents pour atteindre tout leur plein potentiel au profit des entreprises et du bonheur des employĂ©s. Comme l’Ɠil de la mouche qui a plusieurs facettes, nous savons que nous pouvons explorer la multitude de facettes qui compose notre personnalitĂ©. MĂȘme si souvent nous les cachons Ă  un groupe de notre entourage, nous les vivons avec d’autres groupes de notre cercle de connaissances. Nous connaissons certainement tous de grands financiers qui se livrent, souvent en cachette, Ă  toute une activitĂ© artistique, pour se ressourcer ou s’inspirer. Nous sommes des ĂȘtres complets et tout comme l’amour qui se dĂ©multiplie si on le divise, nos talents se dĂ©multiplient Ă©galement pour atteindre notre plein potentiel. Et lĂ , ce n’est que le dĂ©but vers un nouveau potentiel plus haut encore 
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