Depuisquelques semaines, cette nouvelle mouture a Ă©tĂ© inaugurĂ©e par la sortie conjointe de trois titres-phares : La Jeunesse, Les Celtiques et Les Éthiopiques. Cette nouvelle maquette prĂ©sente une couverture Ă  rabats, avec la tĂȘte du marin en gros plan, une prĂ©sentation sans doute moins ‘vieillotte’ que la prĂ©cĂ©dente. Les photos noir et blanc, c'est beau, mais c'est globalement la dĂ©prime. MĂȘme si on arrive Ă  comprendre que 100 ans Ă  l'Ă©chelle de l'humanitĂ© c'est quasi rien, on a du mal Ă  s'imaginer le monde "d'avant" en couleurs, et donc on peine Ă  s'identifier. Mais ça, c'Ă©tait avant le tas d'amateurs actifs sur le sub Reddit Colorized History. Leurs travaux, outre le fait qu'ils soient extrĂȘmement bien travaillĂ©s, nous rappellent qu'avant, finalement, c'Ă©tait pareil... The Eiffel Tower, July 1888 colorized View post on Sideshow barker at the circus View post on View post on View post on View post on View post on View post on Clam seller on Mulberry Bend, New York, ca 1900. Note the cute BFFs in the corner D Cab Stand in Madison Square Garden, ca 1900 Piles of snow on Broadway with an ironic ad, after storm, New York, ca 1905 Detail... checking out the woman in red ; Smile for the camera!! Holiday goers in Atlantic City, New Jersey ca 1905. I made this one specifically to hang in my bathroom Detail. It was required by law to dress in full covering, navy blue swimsuits. Sidewheeler Tashmoo leaving wharf in Detroit, ca 1901. It was famous for being one of the fastest ships, at the time, on the Gre Curb Market in NYC, ca 1900 Auto Wreck in Washington DC, 1921 Flat Iron in New York City, ca 1903 View post on View post on colorized Times Square, 1947 colorized View post on Dick Winters and his Easy Company HBO's Band of Brothers lounging at Eagle's Nest, Hitler's former residence. Colorized by m Sources Sanna Dullaway, Jordan Lloyd, 22 words, Colorized History
Fleurondes séries animales, dont beaucoup laisseront une jolie trace dans nos souvenirs (Flipper, Prince noir, le Vagabond, Belle et Sébastien), la série mythique de Rin Tin Tin en noir et blanc s'étalera sur 164 épisodes (dont les derniers seront en couleur). Le Rin Tin Tin d'origine était la propriété du caporal Duncan durant la premiÚre guerre mondiale. Ce
SuccĂ©dant Ă  deux films ayant joliment esquissĂ© les promesses d’un style en voie d’épanouissement, La Belle personne, cinquiĂšme long-mĂ©trage de Christophe HonorĂ©, libre adaptation » de La Princesse de ClĂšves de Madame de Lafayette, déçoit un peu par son Ă©tonnant manque d’indĂ©pendance. N’en dĂ©plaise Ă  certains hommes politiques, aux dates de pĂ©remption beaucoup plus limitĂ©es, qui, croyant s’attirer les faveurs du plus grand nombre, trouvent plaisant de conspuer la grĂące littĂ©raire soi-disant dĂ©suĂšte de La Princesse de ClĂšves », le fameux roman de Madame de la Fayette. Force est de constater qu’hier comme aujourd’hui, ce beau spectacle de l’amour se joue, lui, toujours dans la cour des grands
 La meilleure preuve Ă©tant la transposition et non l’adaptation qu’en a faite Christophe HonorĂ©, l’an passĂ©, sur grand Ă©cran. La Belle personne, film fluide, irrĂ©sistible de frĂ©missement, de rapiditĂ© et de jeunesse, est d’autant plus Ă  conseiller qu’une Ă©dition DVD chez TF1 Video est sortie ces jours-ci dans les bacs. Clouant dĂ©finitivement le bec aux dĂ©magogues imprudents. Et toc ! En guise de scĂšne d’ouverture, littĂ©ralement une porte de lycĂ©e, massive, qui s’écarte sur une poignĂ©e dĂ©sordonnĂ©e d’élĂšves. Le plan est filmĂ© de l’intĂ©rieur et, trĂšs simplement, tout est dit. Le dĂ©cor, d’abord pour l’essentiel, une cour de lycĂ©e parisien, caisse de rĂ©sonance d’un prĂ©sent vibrant. Vaste et fermĂ©e Ă  la fois, foisonnant de galeries, de balcons et de couloirs, comme autant de niches propices aux coups de thĂ©Ăątres et aux intrigues, elle renvoie bien sĂ»r Ă  la cour royale de La Princesse de ClĂšves. Jamais cour n’a eu tant de belles personnes. Tout a dĂ©butĂ© avec ces quelques mots de Mme de la Fayette, mots qui ont entraĂźnĂ© dans mon esprit l’idĂ©e d’une autre cour, celle d’un lycĂ©e parisien, avec d’autres belles personnes, la jeunesse d’aujourd’hui », a lui-mĂȘme expliquĂ© Christophe HonorĂ© au moment de la sortie du film. De fait, cette rĂ©actualisation de la notion de cour projette immĂ©diatement le spectateur sur une scĂšne, dĂšs ce premier plan, tel un lourd rideau de thĂ©Ăątre qui s’entrouvre. Nul code, ni pesanteur, ni dĂ©suĂ©tude scolaire n’en dĂ©plaise aux fĂącheux. La grĂące de Christophe HonorĂ©, qui a d’abord Ă©tĂ© Ă©crivain avant de livrer une suite en crescendo de beaux films, c’est qu’il parvient Ă  capter ce qu’il y a de plus vivant, de plus atemporel, dans ces jeux cruels de l’amour, Ă©ternellement recommencĂ©s. Tout Ă  fait d’aujourd’hui, et pourtant tout Ă  fait d’hier aussi, ses adolescents – d’une beautĂ© singuliĂšre en effet – donnent justement le sentiment d’ĂȘtre en perpĂ©tuelle reprĂ©sentation. Soucieux, comme les aristocrates du XVIe siĂšcle, du regard de l’autre, mĂȘme si, peut-ĂȘtre, les raisons sont dĂ©sormais diffĂ©rentes la bisexualitĂ© cachĂ©e de l’un, par exemple. Confer l’enchaĂźnement rĂ©pĂ©tĂ© des gros plans sur les visages dans les salles de classe, scĂšnes rĂ©currentes qui ressemblent Ă  s’y mĂ©prendre aux Ă©pilogues provisoires d’actes successifs, avant la chute finale la belle Junie quitte la scĂšne, entendez la terre ferme, sur un bateau
.. Bien sĂ»r, tout au long de ces tours et dĂ©tours virevoltants, narrĂ©s comme une tragĂ©die – on ne badine pas avec l’amour, Ă  cet Ăąge-lĂ  – la langue peut sembler un peu littĂ©raire, les citations cinĂ©philes un poil appuyĂ©es. Reste qu’entendre Louis Garrel – acteur fĂ©tiche d’HonorĂ©, qu’il retrouve ici pour la 4e fois – murmurer, dĂ©fait, perdu Je suis dans une absolue dĂ©tresse amoureuse », n’a Ă©videmment rien de ridicule. Non plus que la rondeur tout en clair-obscur de LĂ©a Seydoux, clone bouleversant d’Anna Karina. Car grĂące Ă  lui, grĂące Ă  elle, grĂące Ă  ces textes et sous-textes si joliment dĂ©ployĂ©s, Christophe HonorĂ©, rejeton prodigue assumĂ© et reconnaissant de la pourtant lointaine Nouvelle Vague reste profondĂ©ment lui-mĂȘme. La belle personne lui ressemble, mix subtil d’exigences, de regrets, d’élans, de renoncements, de fatalitĂ©s. Naviguant, fluide, alerte, enchantĂ©-dĂ©senchantĂ© refrains de Nick Drake Ă  l’appui de la Renaissance aux annĂ©es 2000 en passant par les glorieuses 60’s pour mieux distiller un sentiment irrĂ©sistible d’éternitĂ©. BONUS DVD Petit bonus en quantitĂ© sinon en qualitĂ© HĂŽtel Kuntz », court mĂ©trage de Christophe HonorĂ© de 15 minutes, rĂ©alisĂ© en 2008 avec une partie des lycĂ©ens de La belle personne » dont Simon Truxillo, nanti d’une nouvelle coupe de cheveux. Noir et blanc dans un Paris estival, rĂ©alisĂ© avec une mĂȘme Ă©conomie de moyens qu’au temps de ses illustres aĂźnĂ©s Rivette, Godard, Truffaut, ce petit film rieur se joue prĂ©cisĂ©ment de ces rĂ©fĂ©rences pour mieux, lĂ  encore, les rĂ©actualiser, les transposer. Il s’ouvre sur le visage et le corps Ă©pais d’un voyeur, matant quatre beaux adolescents sur un court de tennis. Mise en abĂźme ou pas du cinĂ©aste, le fait est que les quatre loustics, pas dupes, vont gentiment l’humilier, avant que l’on enchaĂźne sur une filature pataude dudit mateur, dĂ©bouchant sur une modeste chambre d’hĂŽtel Kuntz, donc. OĂč il ne se passera pas forcĂ©ment ce que l’on croit
 Ce que l’on entend, en tout cas, ce sont quelques phrases lues Ă  la volĂ©e par le trentenaire joufflu trĂšs Nouvelle vague, ça, telle le regret taciturne qu’engendre le vice ». Comme quoi, en quelques plans et clins d’Ɠil, Christophe HonorĂ© sait, Ă  l’occasion, trousser une aimable petite fable. Au fait, juste pour le plaisir, sachez que cet HĂŽtel Kuntz existe vĂ©ritablement Ă  Paris, nichĂ© rue des Deux gares, dans le 10e arrondissement, Ă  l’angle
 de la rue La Fayette. Ben tiens !
EnquĂȘte de son pĂšre, elle part Ă  Paris en compagnie de Kylian, son ami noir, pour rencontrer un photographe cĂ©lĂšbre pour ses oeuvres en noir et blanc. ©Electre 2016 Ana, 14 ans, est achromate de naissance : elle ne distingue pas les couleurs et voit tout en noir et blanc.
Extra doux Mac Barnett et Jon Klassen Milan, 2014 Dans ce village couvert de blanc par la neige et de noir par la suie, Annabelle trouva une boĂźte remplie d'un fil multicolore. Elle commença alors Ă  se tricoter un pull et comme il lui restait du fil, elle en fit un aussi pour son chien... et ce n'Ă©tait que le dĂ©but ! J'ai bien aimĂ© cette histoire qui appelle Ă  la gĂ©nĂ©rositĂ© car il est lĂ  le vĂ©ritable moteur de cette boĂźte qui ne semble jamais dĂ©semplir de fil. Dans cet univers assez triste, elle va apporter de la couleur et la partager avec tous. J'ai particuliĂšrement aimĂ© les illustrations et surtout celle en noir et blanc. Il y a une belle texture qui se dĂ©gage de ces dessins, Ă  mon avis colorisĂ© par informatique pour avoir de si jolies nuances. CĂŽtĂ© tricot, ce n'est pas mal non plus ce dĂ©gradĂ© continu en point jersey apposĂ© sur les personnages un peu comme du tampon. Dans cet album, si l'histoire n'est pas inintĂ©ressante, ce sont surtout les illustrations qui m'ont conquise ! Ça pourrait aussi vous plaire
Essayistepolitique, Jules Gheude s'intéresse à l'évolution institutionnelle de la Belgique depuis prÚs de cinquante ans. De 1974 à 1976, il fut collaborateur du ministre de la
L'autre jour j'ai regardĂ© Vacances Romaines en pensant que je l'avais dĂ©jĂ  vu... En fait non j'avais confondu avec Vacances Ă  Venise... En mĂȘme temps cela m'a rassurĂ© car j'avais Ă©tĂ© surprise de voir Audrey sur la pochette du dvd quand je pensais y trouver Katherine Hepburn. On va pas rentrer dans les dĂ©tails de comment fonctionne ma mĂ©moire, je pense que les meilleurs des meilleurs deviendraient fous Ă  essayer de suivre le fil de mes souvenirs. Donc me voilĂ  installĂ©e Ă  table pour regarder le film... Ah oui parce que le chat de l'enfer m'a pris mon spot sur le canapĂ© pendant que je dĂźnais du coup j'ai pas pu aller sur le canapĂ©. Attention je suis pas une maniaque et je peux m'asseoir n'importe oĂč sur mon canapĂ© mais c'est juste que ce coin lĂ  y a l'empreinte de mes fesses, il est prĂšs des fenĂȘtres et de l'accoudoir et surtout c'est le meilleur angle de la table du salon avec une prise pas loin pour l'ordi... Bref le chat de l'enfer pour je ne sais quelle raison enfin juste me pourrir la vie surement Ă  Ă©lu domicile lĂ  pour sa sieste au lieu de dormir dans son coussin Princesse cherchez pas plus loin... quand on surnomme son chat princesse et qu'on lui offre un coussin en forme de couronne et portant l'inscription Princesse il est impossible pour le chat de ne pas tourner mal!. Donc Ă  table avec un pot de cookie dough dans les mains c'Ă©tait pour cĂ©lĂ©brer le Bac de l'ex-dent d'acier... Bloody Mary en entrĂ©e et glace en dessert!, je me suis retrouvĂ©e dans du noir et blanc. Plusieurs constatations 1. En revoyant Audrey Hepburn... j'ai compris ce que ça voulait dire de "la structure dans le visage"!! Force est d'admettre que j'en suis dĂ©pourvue pas de vraies fossettes, pas de mĂąchoires clairement dessinĂ©es et pas de nez aristocratique... Du coup j'ai replongĂ© ma cuillĂšre dans les copains Ben & Jerry's 2. J'ai Ă©tĂ© surprise de la façon dont on lui coupe les cheveux dans la scĂšne chez le coiffeur... Les techniques ont du grandement Ă©voluĂ©e depuis le film ou alors l'acteur n'avait pas fait l'actor studio et n'avait pas regardĂ© travaillĂ© des coiffeurs avant sa grande scĂšne. 3. Mais j'ai Ă©tĂ© encore plus bluffĂ©e par le rĂ©sultat... Genre ouaip ok la classe 4. Et mon admiration a atteint des sommets quand j'ai vu ce qu'elle parvenait Ă  faire de sa nouvelle coupe sans ĂȘtre vraiment repassĂ©e par le coiffeur ou mĂȘme la maison notons que ceci n'aurait Ă©tĂ© d'aucune utilitĂ© vu qu'elle squatte dans la chambre de bonne d'un journaliste cĂ©libataire et qu'elle n'a pas pris de trousse de toilette avec elle en quittant le coliseum! 5. AprĂšs des annĂ©es Ă  visionner Coup de Foudre Ă  Notting Hill dĂ©couvrir que la scĂšne finale de la confĂ©rence de presse est quand mĂȘme clairement un clin d'oeil Ă  la scĂšne finale de Vacances Romaines mieux vaut tard que jamais me direz-vous... En fait je ne vous cache pas que j'ai aimĂ©... et j'ai justement aimĂ© de ne pas ĂȘtre embĂȘtĂ©e par les soucis du quotidien et que la coupe de cheveux trouve parfaitement sa place sans les millions de produits que nous avons toutes dans la salle de bain pour ne finir qu'avec un rĂ©sultat approchant vaguement celui du film. C'est magique c'est le cinĂ©ma. Et tout cela sans que cela soit choquant ou agaçant mais juste une parenthĂšse fraĂźche et bien menĂ©e. Ensuite j'ai aimĂ©, c'est mon cĂŽtĂ© old fashion surement le mĂȘme qui fait qu'en bonne rĂ©ac' que je peux ĂȘtre parfois je trouve normal que Meryl Streep ne quitte pas tout pour Clint dans Sur la Route de Madison, le sens du devoir et le haut standing des personnages qui n'ont pas de rĂ©elles faiblesses et sont droits. En fait lĂ  tout de suite j'ai envie de revoir Casablanca maintenant mais je vais attendre que le chat de l'enfer se soit cassĂ©e pour pouvoir le voir affalĂ©e sur mon canapĂ©. Tout Ă©tait grandement plus simple, on dirait quand on voit ce genre de films. Alors aprĂšs pour rire je me suis imaginĂ©e ce qu'il serait arrivĂ© si ça se passait de nos jours et tout de suite j'ai compris que vraiment ça n'aurait pas eu le mĂȘme cachet! En mĂȘme temps me direz-vous dans quel monde vivons-nous, Charles a bien Ă©pousĂ© Camilla la morale va mal les gens... oui je tente de faire des rĂ©fĂ©rences Ă  la famille royale c'est depuis que je suis en UK ça doit dĂ©teindre... ou pas!. Donc Vacances Romaines de nos jours... Je pense qu'avant que Gregory Peck ne la trouve elle se serait faite dĂ©pouillĂ©e somnolante sur son banc. Ensuite durant sa folle journĂ©e Ă  Rome, y aurait bien eu un imbĂ©cile avec un iPhone pour la reconnaĂźtre et la prendre en photo. En 30s la photo aurait Ă©tĂ© sur Twitter ou autre. GrĂące Ă  Google map elle aurait Ă©tĂ© retrouvĂ©e en deux temps trois mouvements par les services secrets de son pays. Du coup, Greg n'aurait pas eu la chance de montrer sa grande moralitĂ© et son amour en ne publiant pas de reportage sur la fugue de la princesses vu que de toute façon tout aurait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis Ă  nu sur le net. Mais c'est pas grave pour lui, un "super" scĂ©nariste de nos jours aurait rĂ©ussi Ă  faire en sorte qu'il y ait une scĂšne d'amour entre les deux protagonistes. Du coup Greg, la grandeur et tout le reste il s'en fiche un peu il n'en a plus besoin. Aussi bien ils auraient Ă©changĂ© leur numĂ©ro de tĂ©l et pendant quelques mois se seraient envoyĂ©s des sms et des whatsapp... voir ils se seraient retrouvĂ©s sur skype!!!!!! Ou alors Ă  la façon de nos comĂ©dies modernes, Audrey se la serait jouĂ©e indĂ©cise. C'est vrai que nous les filles on a tellement de choix en matiĂšre de chaussures, par exemple, qu'on hĂ©site toujours on va vers une puis vers l'autre on revient vers la premiĂšre pour finalement achetĂ© deux autres paires et du coup on a le mĂȘme soucis avec les hommes ira-t'il bien avec mon nouveau cardigan ou pas??? changer de cardigan ou d'homme?. Bref elle serait restĂ©e, puis aurait dĂ©cidĂ©e de partir... Et lĂ  le spectateur il aurait commencĂ© Ă  en avoir ras-le-bol. Vous voyez un peu le bordel??? Un peu plus et le rĂŽle en plus aurait Ă©tait donnĂ© Ă  une Jennifer Lopez... Alors en noir et blanc franchement ça a autrement de la gueule non? Je file je vais voir si j'ai avec moi le DVD de Casablanca ou si je vais devoir attendre pour le revoir!
Cejeudi 23 mars, Line Renaud Ă©tait invitĂ©e dans l'Ă©mission En apartĂ©. L'occasion pour la chanteuse de revenir sur sa carriĂšre et sur sa relation avec Edith Piaf, qui selon elle, a toujours En juin dernier, lors de son passage Ă  Paris pour la publication du premier tome de son Journal, Joyce Carol Oates Ă©voquait la parution de son prochain roman Ă  l'automne, Fille noire, fille blanche. Le texte lui tenait particuliĂšrement Ă  coeur, disait-elle, pour l'ambiguĂŻtĂ© du sujet et des personnages. SituĂ©e dans les annĂ©es 1970, cette fiction a pour cadre un collĂšge amĂ©ricain prestigieux et dĂ©crit les relations complexes, ou plutĂŽt l'absence de relations, entre deux camarades de chambre Genna Meade, appartenant Ă  la famille du fondateur de l'Ă©cole, et Minette Swift, fille de pasteur et boursiĂšre. Genna est blanche, nourrie de libĂ©ralisme, cherchant sans cesse Ă  refuser les privilĂšges de sa caste. Minette est noire, obsĂ©dĂ©e par la religion la plus stricte et trĂšs distante vis-Ă -vis des autres Ă©lĂšves, en particulier de sa colocataire. A une Ă©poque oĂč les tensions raciales sont aiguĂ«s, Joyce Carol Oates montre Ă  quel point les bonnes consciences peuvent se fourvoyer, ou, pire encore, aggraver des situations dĂ©jĂ  tendues. Genna, dont les parents sont riches - des marginaux chic qui refusent l'ostentation -, arrive avec sa maladresse en bandouliĂšre. Minette a d'autres choses Ă  faire que d'accepter une aumĂŽne libĂ©rale. Elle est dĂ©peinte comme une fille plutĂŽt antipathique, mal dĂ©grossie et mĂ©prisante, face Ă  Genna, prĂȘte Ă  tout pour un sourire, un geste de reconnaissance. Autour de ces deux adolescentes, sur le campus, l'atmosphĂšre est glaciale et les regards soupçonneux. En parvenant Ă  reconstituer avec rigueur ces annĂ©es oĂč le mouvement hippie et la guerre du Vietnam secouaient l'AmĂ©rique, Joyce Carol Oates en montre les contradictions politiques et sociales, la vie quotidienne et les effets pervers de l'Ă©ducation. Intrigues familiales, violence et passionEmpoigner la rĂ©alitĂ©, dĂ©ranger, retirer les masques des bien-pensants, Joyce Carol Oates ne cesse de le faire depuis 1964 en publiant tour Ă  tour romans, nouvelles, polars, essais et recueils de poĂ©sie. Elle explique que l'Ă©criture est sa drogue "irrĂ©sistible et Ă©puisante". PrĂšs de soixante-dix titres et quelques oeuvres sous pseudonymes n'ont jamais entamĂ© son engagement vis-Ă -vis de la littĂ©rature, sans frivolitĂ© mais sans austĂ©ritĂ© non plus. Car Joyce Carol Oates est avant tout une artiste curieuse, voire chaleureuse, contrairement Ă  l'image que l'on a tendance Ă  lui coller. Enseignante Ă  l'universitĂ© de Princeton, elle aime Ă©changer avec de jeunes auteurs, transmettre ses connaissances. Lectrice passionnĂ©e, elle peut aussi se transformer en critique littĂ©raire enthousiaste, mais c'est son Ă©criture qui la porte, Ă  chaque minute de son existence, tournĂ©e essentiellement vers la crĂ©ation littĂ©raire. En lisant son Journal - qui n'Ă©tait pas destinĂ© Ă  la publication -, on cherche forcĂ©ment le processus, la porte cachĂ©e du laboratoire. Elle nous rĂ©vĂšle la vie calme d'une femme qui joue du piano, aime cuisiner et dĂźner avec des amis romanciers, collectionne les oeuvres d'art. Mais derriĂšre cette vie sociale, l'Ă©crivain solitaire cherche, doute, s'inquiĂšte du temps qui passe, multiplie la documentation avant d'oser enfin commencer Ă  rĂ©diger. FrĂ©nĂ©tiquement, inlassablement. Fille noire, fille blanche, comme l'extraordinaire fiction, Eux, parue en 1969 - quarante ans auparavant -, plonge dans des intrigues familiales oĂč la violence et l'amour mĂšnent Ă  la folie. Le rĂȘve amĂ©ricain est un piĂšge, semble-t-elle rĂ©pĂ©ter de livre en livre. Elle brise les dĂ©sirs de gloire Ă©phĂ©mĂšre dans Blonde en s'appropriant la figure de Marilyn Monroe, dĂ©crit les cauchemars des Ă©ternels exilĂ©s avec La fille du fossoyeur, gratte la perversion du couple dans Les chutes. Si frĂȘle en apparence avec son corps osseux et son visage pointu au regard mobile, Joyce Carol Oates est une femme obstinĂ©e, affirmant dans un essai intitulĂ© La foi d'un Ă©crivain "J'aime penser que l'art digne de ce nom est transgressif, dĂ©rangeant et non consolant." Depuis de nombreuses annĂ©es, son nom est citĂ© pour le prix Nobel de littĂ©rature mais ses publications frĂ©nĂ©tiques, ses succĂšs populaires et cette transgression sulfureuse n'ont pas - encore - emportĂ© l'adhĂ©sion du comitĂ© suĂ©dois. Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris VallĂ©eLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux Commentaires 25 ans aprĂšs la fin de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e originale, trois nouvelles adaptations animĂ©es de Cobra virent le jour et furent produites de 2008 Ă  2010: deux sĂ©ries d'OAVs intitulĂ©es "The Psychogun" et "Time Drive" adaptant les histoires Ă©ponymes du manga en couleurs ainsi qu'une nouvelle sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e. Celles-ci commĂ©morent par ailleurs le Tout d’abord, je les ai trouvĂ©s affreusement blancs, et pour tout dire d’un blanc crasseux. Pourtant, c’est sĂ»r, ils s’étaient lavĂ© la figure au moins trois fois avant de me rencontrer. Ce sont des malades de l’hygiĂšne corporelle. Douche tous les soirs, bains les jours sans Ă©cole, brossage de dents au moins deux fois par jour – trois fois si je dĂ©jeune sous leur nez –, Ă©galisation des ongles de pieds et de mains, et j’en passe. Mais le blanc de leur visage n’était pas aussi immaculĂ© que la robe de sƓur Marie-de-la-CharitĂ©, par exemple. Ils Ă©taient d’un blanc multicolore blanc rosĂ© sur les joues, blanc bleutĂ© sous les yeux, blanc grisĂątre sur son menton Ă  lui, blanc verdĂątre sur ses paupiĂšres Ă  elle. Blancs d’angoisse. J’avais sous les yeux deux Blancs blancs de peur. Je ne sais pas si c’était pour m’assortir Ă  eux, mais sƓur Marie-de-la-CharitĂ© m’avait habillĂ©e d’une trĂšs jolie robe blanche en batiste – je me demande encore oĂč elle avait dĂ©gotĂ© ce magnifique exemple de tenue endimanchĂ©e pour petite fille sage et pourquoi je n’avais encore vu aucune d’entre nous habillĂ©e comme ça – d’ordinaire, nous portions des guenilles marronnasses. Malheureusement, je n’ai pas pu emporter ma jolie robe de dentelle blanche dans ma nouvelle vie et pour tout dire, je ne l’ai pas portĂ©e trĂšs longtemps, deux heures maximum. La rencontre a eu lieu dans le parloir», la seule piĂšce de la maison qui donnait sur l’unique arbre – comme nous l’appelions alors qu’il s’agissait tout au plus d’un arbrisseau rabougri – dont s’enorgueillissait notre courette poussiĂ©reuse et dĂ©solĂ©e. À la fois curieuse et pleine d’apprĂ©hension, je me tenais dans un coin, droite comme un i, les mains derriĂšre le dos, les pieds bien joints, comme me l’avait conseillĂ© sƓur Marie-de-la-CharitĂ©. Il s’agit, m’avait-elle rĂ©pĂ©tĂ© toute la semaine, de faire bonne impression, ta vie dĂ©pend de cette rencontre.» Quel fardeau, me dis-je aujourd’hui, pesait sur les frĂȘles Ă©paules d’une fillette de sept ans, malingre, pouilleuse, noire et ignorante. AprĂšs quelques interminables minutes sans Ă©vĂ©nement notable, ils ont dĂ©collĂ© de leur coin Ă  eux, tout prĂšs de la porte que sƓur Marie-de-la-CharitĂ© avait doucement refermĂ©e en me lançant un petit signe d’encouragement. Leurs premiers mouvements m’ont fait ouvrir de grands yeux perplexes et m’ont alarmĂ©e impossible en l’état de dire si je leur avais fait bonne impression, mais je peux certifier que, Ă  moi, ils ont fait d’emblĂ©e une trĂšs mauvaise impression, car lui s’est soudain mis Ă  quatre pattes et Ă  ramper dans ma direction et elle Ă  sortir de son sac des machins impossibles Ă  identifier et qu’elle me tendait en faisant des bruits bizarres avec sa bouche – un peu comme chez nous on appelle les poules pour qu’elles viennent picorer. Ils se sont retrouvĂ©s assis sur leurs talons Ă  un mĂštre de moi et Ă  grand renfort de gestes, m’ont dit papamamacristel». Les machins se sont rĂ©vĂ©lĂ©s ĂȘtre des objets qui m’étaient pour la plupart inconnus Ă  l’époque mais dont certains ressemblaient Ă  des bĂ©bĂ©s. Il ne s’est pas passĂ© grand chose d’autre ce jour-lĂ . Quand ils sont repartis, elle pleurait et lui la tenait par les Ă©paules. Ma nouvelle vie ne commençait pas sous les meilleurs auspices. Le lendemain, sƓur Marie-de-la-CharitĂ© m’a obligĂ©e Ă  mettre de nouveaux vĂȘtements qui ne me plaisaient pas du tout il y avait une jupe plissĂ©e qui me serrait Ă  la taille mais me descendait jusqu’aux chevilles – je ne comprends toujours pas comment une jupe pouvait ĂȘtre Ă  la fois trop serrĂ©e et trop longue – puis un corsage rouge boutonnĂ© jusqu’au cou et qui m’étranglait. Mais le pire, c’était les chaussures. Je n’en avais jamais mis, pour ainsi dire jamais vu si ce n’est les espĂšces de savates que portaient les sƓurs. J’ai appris plus tard que les miennes s’appellent des chaussures vernies », elles Ă©taient jolies – j’adorais tout ce qui brillait – mais elles me faisaient horriblement mal aux pieds. Une torture inĂ©dite, mais non moins pĂ©nible. La veille, on m’avait mis une espĂšce de fichu sur la tĂȘte en m’expliquant qu’il valait mieux cacher mes cheveux tondus. Ceux-ci n’avaient pas poussĂ© pendant la nuit, pourtant, je suis allĂ©e Ă  mon deuxiĂšme rendez-vous tĂȘte nue. Il aurait Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rable qu’il en soit autrement, bien sĂ»r, encore une de ces petites dĂ©ceptions Ă©vitables si les adultes rĂ©flĂ©chissaient un peu. Car cette fois-ci, ils avaient emportĂ© plein de petites boules de toutes les couleurs qu’ils ont malgrĂ© tout sortis de leur sac. Je ne voyais pas du tout ce que j’étais censĂ©e faire avec et, Ă  tout hasard, je les rĂ©unissais en petits tas que je faisais et dĂ©faisais. Passionnant. Ce n’est que bien plus tard, quand enfin mes cheveux ont Ă©tĂ© assez longs, que j’ai compris Ă  quoi servaient les jolies boules multicolores Ă  pendre au bout de mes petites tresses et Ă  faire de la musique quand je secouais la tĂȘte. Cela a dĂ» la frustrer car Ă  l’époque il n’y avait pas l’ombre d’une chance de faire ne serait-ce qu’une minuscule tressette. Nous allions ainsi de dĂ©ception en dĂ©ception, je ne comprenais toujours pas ce que signifiait ce papamamacristel» que j’entendais Ă  tout bout de champ. Sans doute ont-ils pensĂ© que j’étais sourde et muette ou idiote ou tout ça en mĂȘme temps ; je n’ouvrais pas la bouche, ne souriais pas mais observais intensĂ©ment ces drĂŽles de Blancs de plus en plus blancs avec qui j’allais vivre ma nouvelle vie. Un jour, contre toute attente et de façon tout Ă  fait absurde et incomprĂ©hensible, je me suis retrouvĂ©e dans leurs bras. On formait une espĂšce d’amas de chiffons mouillĂ©s jetĂ©s par terre au milieu du parloir. Extrait de La Vie en noir et blanc» in DĂ©liens, recueil de nouvelles en recherche d’éditeur Partager
ï»żSuissealĂ©manique: deux duos douĂ©s, une tisseuse d’enquĂȘte et un maĂźtre du grattage. En Suisse alĂ©manique, l’album occupe une place de choix sur le marchĂ© du livre jeunesse, notamment grĂące Ă  deux Ă©diteurs historiques de renom, encore trĂšs actifs aujourd’hui: NordSĂŒd et Atlantis.C’est au premier que l’on doit l’un des plus gros succĂšs
Description La fabuleuse histoire de ThĂ©o le peintre Ă  la recherche des couleurs perdues !Une histoire merveilleuse avec des illustrations extraordinaires qui Ă©merveilleront les enfants de 6 ans !Histoires et sucres d'orge, une belle collection d'histoires adaptĂ©es Ă  chaque Ăąge de l'enfant, de l'Ă©veil Ă  la lecture jusqu'Ă  ses 7 ans. Sujets Informations PubliĂ© par Date de parution 06 mars 2013 Nombre de lectures 0 EAN13 9782215123491 Langue Français Informations lĂ©gales prix de location Ă  la page 0,0174€. Cette information est donnĂ©e uniquement Ă  titre indicatif conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur. Extrait Texte de Sophie de Mullenheim Illustrations de Sibylle DelacroixLe peintre et les couleurs perdues Il y a trĂšs longtemps, les hommes Ă©taient devenus si sĂ©rieux qu’ils avaient oubliĂ© comment rire. La joie avait quittĂ© leur coeur et le monde Ă©tait devenu triste. Les couleurs avaient disparu, laissant la place au noir. Et au gris de la poussiĂšre. L’un de ces hommes Ă©tait plus triste que tous les autres c’était ThĂ©o le peintre. Quand il regardait sa palette, il avait envie de pleurer. Au dĂ©but, il avait imaginĂ© un noir brillant, un noir foncĂ©, un noir plus clair
 Mais il avait beau faire, le noir Ă©tait toujours aussi noir et la vie, toujours aussi triste. Un jour, ThĂ©o se rĂ©veilla en sursaut. Pour la premiĂšre fois depuis des mois, il avait fait un rĂȘve en couleur. C’était si beau qu’il dĂ©cida de faire quelque chose il devait rĂ©veiller les hommes et retrouver les couleurs. CdiscountLibrairie - DĂ©couvrez notre offre Le garçon qui n'Ă©tait pas noir. Livraison gratuite Ă  partir de 25€* | Paiement sĂ©curisĂ© | 4x possible | Retour simple et rapide . Votre navigateur internet n’est plus supportĂ© par notre site. Afin de bĂ©nĂ©ficier d’une navigation optimale, merci de mettre Ă  jour votre navigateur. Rayons. Aller sur Cdiscount . X. Cdiscount Ă  v o l o Le feuilleton est une notion un peu obsolĂšte aujourd'hui car on a pris l'habitude de dĂ©signer sous le mot "sĂ©rie" Ă  la fois les sĂ©ries et les feuilletons, or dans les annĂ©es 60, 70 et 80, la diffĂ©rence Ă©tait rĂ©elle une sĂ©rie Ă©tant une suite d'Ă©pisodes indĂ©pendants avec 1 ou plusieurs personnages ...Afficher plusListe de 114 sĂ©riescrĂ©ee il y a presque 6 ans modifiĂ©e il y a 2 temps des copains 196125 min. Date de premiĂšre diffusion 16 octobre 1961 France. ComĂ©die, DramesĂ©rie ORTF avec Maryse Mejean, Henri Tisot, Jacques RuisseauAnnotation pendant 5 ans de 1961 Ă  1966, ce feuilleton dĂ©livrĂ© en 13 mn journaliĂšres pendant 117 Ă©pisodes a avivĂ© la passion des premiers tĂ©lĂ©spectateurs français, c'Ă©tait la peinture de l'ambiance parisienne des annĂ©es 60 qui rĂ©vĂ©lait en mĂȘme temps Henri Tisot dans un rĂŽle de MĂ©ridionnal... je n'ai pas vu ce feuilleton Ă  l'Ă©poque car j'Ă©tais trop petit, je l'ai dĂ©couvert lors de sa rediff dans les annĂ©es 80, c'Ă©tait assez sympa par son reflet d'une Chevalier de Maison Rouge 19631 h 20 min. Date de premiĂšre diffusion 3 fĂ©vrier 1963. Mini-sĂ©rie, ActionsĂ©rie RTF TĂ©lĂ©vision avec Michel Le Royer, Dominique Paturel, Jean DesaillyUgly a mis 7/ probablement le 1er grand feuilleton de l'unique chaĂźne de tĂ©lĂ© française, diffusĂ© en noir & blanc en 1963, avec Michel Le Royer et François Chaumette qu'on reverra dans d'autres productions AimĂ©e 1963 1963Date de premiĂšre diffusion 4 fĂ©vrier 1963 France. sĂ©rie avec Colette TeissĂšdre, Alice Sapritch, Michel BarbeyUgly a mis 4/ je n'ai pas suivi ce feuilleton des dĂ©buts de la tĂ©lĂ©, j'Ă©tais Ă  peine nĂ©, il fut peu rediffusĂ© mais le peu que j'en ai vu une fois sur la 5 ne m'a pas tellement bottĂ©, il parait que c'est un tĂ©moignage sur la France d'avant 1968, au ton proche des romans-photos, ce fut un feuilleton trĂšs populaire Ă  l'Ă©poque, d'oĂč sa place ici6Belle et SĂ©bastien 196525 min. Date de premiĂšre diffusion 26 septembre 1965 France. Jeunesse, DramesĂ©rie ORTF avec Edmond Beauchamp, Louise Marleau, Harry-MaxUgly a mis 5/ un feuilleton idĂ©al pour les enfants et un public familial, puisqu'il Ă©voquait la belle amitiĂ© entre un chien des PyrĂ©nĂ©es et un enfant, sur fond de jolies vues de montagnes... Ă©motions garanties, on chialait comme des la Fronde 196330 min. Date de premiĂšre diffusion 3 novembre 1963 France. Action, AventuresĂ©rie avec Jean-Claude Drouot, CĂ©line LĂ©ger, Fernand BellanUgly a mis 7/ ah Thierry la Fronde ! quel souvenir ! c'Ă©tait l'idole de tous les Ă©coliers, on voulait la panoplie de Thierry, et quand on pouvait pas l'avoir, on piquait un vieux collant de maman et un gilet Ă  papa avec une grosse mĂ©daille et une fronde et on jouait Ă  Thierry quand on allait en forĂȘt, bref c'est un fleuron de la grande tĂ©lĂ© française qui nous remĂ©morait la guerre de Cent Ans de façon ludique...la France avait enfin son Robin des Bois, et Jean-Claude Drouot y trouva une cĂ©lĂ©britĂ© lĂ©gendaire un peu collante en mĂȘme temps ou le FantĂŽme du Louvre 19651 h 05 min. Date de premiĂšre diffusion 6 mars 1965 France. FantasysĂ©rie ORTF avec Yves RĂ©nier, Christine Delaroche, Yves BureauUgly a mis 7/ un grand classique qui offrait une atmosphĂšre mi-fantastique et mi-policiĂšre, c'Ă©tait assez innovant pour l'Ă©poque, et en plus ça faisait de la pub pour le Louvre, c'Ă©tait les dĂ©buts d'Yves RĂ©nier, Juliette GrĂ©co y trouvait un rĂŽle mĂ©morable ainsi que François Chaumette en mentor machiavĂ©lique... quand j'Ă©tais tout gosse, j'avais peur du masque de Compagnons de JĂ©hu 196655 min. Date de premiĂšre diffusion 1966 France. 1 saison. DramesĂ©rie Radio Canada, ORTF avec Andrea Parisy, JosĂ©e Steiner, Pierre ClĂ©mentiUgly a mis 7/ lĂ  aussi je n'ai pas trop suivi ce feuilleton, je n'Ă©tais pas encore fĂ©ru d'Histoire et trop jeune, le sujet ne m'attirait pas, et puis j'ai pu le revoir adulte en rediff, et c'Ă©tait pas mal, avec Claude Giraud et Bernard Tiphaine ces 2 excellents comĂ©diens sont maintenant spĂ©cialisĂ©s dans le doublage, le premier fut souvent la voix de Richard Chamberlain, le second est la voix officielle de Chuck Norris et de James Caan et flibustiers 196625 min. Date de premiĂšre diffusion 24 septembre 1966 France. ActionsĂ©rie ORTF avec Michel Le Royer, Christian Barbier, Jean MauvaisUgly a mis 8/ ce feuilleton reste un Ă©norme classique, un pur produit de la tĂ©lĂ© française des annĂ©es 60 qui mĂ©rite d'ĂȘtre redĂ©couvert et dĂ©gustĂ©, avec le fringant Michel Le Royer et Christian Barbier... un vrai dĂ©lice de mon Place 196425 min. Date de premiĂšre diffusion 15 septembre 1964. Drame, Romance, SoapsĂ©rie ABC avec Ed Nelson, Barbara Parkins, Warner AndersonUgly a mis 5/ un des premiers gros feuilletons amĂ©ricains diffusĂ© en France au dĂ©but des annĂ©es 70, c'Ă©tait du sentimental un peu Ă  l'eau de rose, ça ne m'attirait pas, mais il fut important car il a vu dĂ©buter de jeunes acteurs Ă  l'Ă©poque comme Mia Farrow et Ryan O' 196413 min. Date de premiĂšre diffusion 18 avril 1964 France. 3 saisons. Action, Aventure, FantasysĂ©rie RTF TĂ©lĂ©vision avec Jean Topart, Pierre Vernier, Michel BeauneUgly a mis 6/ fleuron de la littĂ©rature populaire, Rocambole fut un feuilleton fascinant dans cette France des annĂ©es 60 encore peu habituĂ©e au fantastique Ă  la tĂ©lĂ©... je n'ai pas beaucoup vu ce feuilleton, j'Ă©tais trop gosse, et il fut trĂšs peu 196615 min. Date de premiĂšre diffusion 3 mars 1966 France. 1 saison. PoliciersĂ©rie PremiĂšre chaĂźne de l'ORTF avec Philippe OgouzUgly a mis 7/ un chouette feuilleton sur ce dĂ©tective crĂ©e par le romancier Gaston Leroux, avec l'excellent Philippe Ogouz... les Ă©nigmes Ă©taient trĂšs mystĂ©rieuses7Vidocq 196725 min. Date de premiĂšre diffusion 7 janvier 1967 France. 1 saison. ActionsĂ©rie ORTF avec Yves Bureau, Alain Mottet, GeneviĂšve FontanelUgly a mis 6/ ce premier feuilleton de 13 Ă©pisodes de 26 mn en noir & blanc en 1967 sur le cĂ©lĂšbre bagnard devenu chef de la SĂ»retĂ©, est passĂ©e un peu inaperçu Ă  cause de la sĂ©rie avec Claude Brasseur, mais c'est Bernard NoĂ«l qui crĂ©a le rĂŽle et le feuilleton Ă©tait fidĂšle aux mĂ©moires de Vidocq, rien Ă  voir avec le film de Pitof qui dĂ©forme Chevaliers du Ciel 196725 min. Date de premiĂšre diffusion 16 septembre 1967 France. 3 saisons. Action, AventuresĂ©rie ORTF avec Pierre Fromont, Valery Inkijinoff, Catherine DiamantUgly a mis 7/ jamais une sĂ©rie-feuilleton n'avait atteint un tel succĂšs et une telle popularitĂ© surtout lorsqu'elle Ă©tait adaptĂ©e d'une BD, grĂące Ă  une Ă©quipe de joyeux comĂ©diens, et surtout d'un duo dĂ©tonant Jacques Santi en Tanguy et Christian Marin en Laverdure... humour et aventure imaginĂ©es par Charlier sur la cĂ©lĂšbre chanson de Johnny heureux 196625 min. Date de premiĂšre diffusion 12 fĂ©vrier 1966 France. 1 saison. ComĂ©die, DramesĂ©rie ORTF avec Pierre Mondy, Françoise Rosay, Odette JoyeuxUgly a mis 5/ j'ai peu suivi ce feuilleton, je n'en ai qu'un vague souvenir, c'Ă©tait les tribulations d'une jeune fille qui "montait" Ă  Paris comme on disait alors, mais ça a marquĂ© les chaumiĂšres, un peu dans le style de "Janique AimĂ©e" Aventures de LagardĂšre 196750 min. Date de premiĂšre diffusion 20 septembre 1967 France. 1 saison. DramesĂ©rie ORTF avec Jean Piat, Sacha Pitoeff, MichĂšle GrellierUgly a mis 9/ un grand moment que ce "LagardĂšre" de Jullian rĂ©alisĂ© par Decourt, avec un sĂ©millant et jeune Jean Piat, un vrai bonheur pour moi qui ai toujours adorĂ© le genre cape et d'Ă©pĂ©e... le feuilleton suivait Ă  peu prĂšs le roman de Paul FĂ©val "le Bossu", riche en rebondissements, avec des personnages attachants, un mĂ©chant perfide Ă  souhait incarnĂ© par Sacha Pitoeff, de jolis dĂ©cors des campagnes françaises, bref un fleuron du feuilleton historique du Picardie 196813 min. Date de premiĂšre diffusion 16 dĂ©cembre 1968 France. 1 saison. DramesĂ©rie TF1, ORTFUgly a mis 6/ ce feuilleton fut l'un des premiers Ă  ĂȘtre dĂ©coupĂ© en petites tranches de 15 mn diffusĂ©es juste avant le JT de 20h sur la premiĂšre chaĂźne de l'ORTF, il a Ă©tĂ© rediffusĂ© dans un montage normal d'Ă©pisodes de 45 mn, et a fait beaucoup pour la popularitĂ© de Christian Barbier, tout en faisant dĂ©couvrir la vie des mariniers...aujourd'hui ça a peut-ĂȘtre un peu vieilli, mais c'est un tĂ©moignage d'une ou les croisades 196830 min. Date de premiĂšre diffusion 2 novembre 1968 France. 2 saisons. HistoriquesĂ©rie avec AndrĂ© Laurence, Pierre Tornade, Pierre ArditiUgly a mis 7/ avec ce chevalier blanc, c'Ă©tait un vrai rĂȘve , une vraie Ă©vasion pour le gosse que j'Ă©tais, j'avais rĂ©clamĂ© aux parents mon Ă©pĂ©e en plastique de Thibaud, c'Ă©tait un beau feuilleton mĂ©diĂ©val qui bĂ©nĂ©ficiait de tournages en dĂ©cors naturels, d'une grande mise en scĂšne, de bonnes scĂšnes de combat, d'action et d'un excellent comĂ©dien, AndrĂ© Lawrence qu'on reverra dans "les Gens de Mogador" 19696 h. Date de premiĂšre diffusion 18 dĂ©cembre 1969 France. 1 saison. Mini-sĂ©rie, Action, HistoriquesĂ©rie DeuxiĂšme chaĂźne de l'ORTF avec Adriano Amidei Migliano, Rolf Arndt, François ChaumetteUgly a mis 8/ cette Ă©niĂšme version des hĂ©ros de Dumas avait son charme et tenait la distance face Ă  certains films de cinĂ©ma, grĂące au soin de ses dĂ©cors superbes et Ă  ses acteurs, en tĂȘte Dominique Paturel en fringant D'Artagnan et François Chaumette en le Diable 196826 min. Date de premiĂšre diffusion 3 aoĂ»t 1968 France. 1 saison. AventuresĂ©rie avec FrĂ©dĂ©ric Santaya, Robert Etcheverry, DaniĂšle EvenouUgly a mis 7/ avec ce feuilleton, on entrait en Pays Basque, dans une rĂ©gion pittoresque au dĂ©but du XIXĂšme siĂšcle, au sein des contrebandiers... le feuilleton fut tournĂ© Ă  Saint-Jean-Pied-de-Port, un des plus beaux villages basques, avec un trĂšs bon Robert Etcheverry qui s'est parfaitement identifiĂ© au Coignet 196955 min. Date de premiĂšre diffusion 23 dĂ©cembre 1969 France. 1 saison. Historique, Mini-sĂ©riesĂ©rie PremiĂšre chaĂźne de l'ORTFUgly a mis 8/ cette vie du capitaine Coignet qui a rĂ©ellement vĂ©cu toutes les batailles napolĂ©oniennes d'Austerlitz Ă  Waterloo brille par sa reconstitution impeccable, servie par un grand comĂ©dien Henri Lambert qui n'Ă©tait avant ça que dĂ©volu aux 3Ăšmes rĂŽles dans les films policiers des annĂ©es 60... un feuilleton Le Croquant 19691 h 30 min. Date de premiĂšre diffusion 4 octobre 1969 France. 1 saison. Action, Drame, Mini-sĂ©riesĂ©rie ORTF avec Eric Damain, Daniel Le RoyUgly a mis 7/ j'ai pas trop suivi cette fresque paysanne et historique en PĂ©rigord, j'Ă©tais encore trĂšs jeune, je l'ai dĂ©couvert bien plus tard en rediff, et ça avait gardĂ© sa force, le feuilleton avait d'ailleurs laissĂ© une profonde empreinte dans les mĂ©moires en Dynastie des Forsyte 1967The Forsyte Saga1 h. Date de premiĂšre diffusion 3 octobre 1970 France. 1 saison. DramesĂ©rie BBC Two avec Eric Porter, Nyree Dawn Porter, Kenneth MoreUgly a mis 7/ une oeuvre grandiose et somptueuse, raffinĂ©e qu'il fallait dĂ©guster en buvant le thĂ©, bref de la grande tĂ©lĂ© british, avec de bons acteurs comme Eric Porter, Kenneth More, Susan Hampshire... ça ne m'intĂ©ressait pas Ă©tant gamin, mais revu plus tard, j'ai pu apprĂ©cier le cĂŽtĂ© feutrĂ© de la vie anglaise au dĂ©but du 20Ăšme siĂšcle7Les Secrets de la mer Rouge 196825 min. Date de premiĂšre diffusion 5 mai 1968 France. 2 saisons. Biopic, AventuresĂ©rie avec Pierre Massimi, Christine Kruger, Hans WyprĂ€chtigerUgly a mis 5/ une autobiographie intĂ©ressante sur un grand voyageur qui a bourlinguĂ© et fait tout un tas d'activitĂ©s et bien jouĂ© par Pierre Massimi, avec une touche d'exotisme qui faisait un peu rĂȘver on voyageait moins dans les annĂ©es 60, mais ça ne m'a pas renversĂ© plus que çaOmer Pacha 197126 min. Date de premiĂšre diffusion 14 avril 1971 France. 1 saison. HistoriquesĂ©rie PremiĂšre chaĂźne de l'ORTF avec MihaĂ«l BalohUgly a mis 8/ encore de l'exotisme Balkans, Autriche, empire Ottoman et beaucoup d'action dans cette co-production avec l'Autriche et l'Allemagne, rĂ©alisĂ©e par Christian-Jaque, j'adorais ce feuilleton qu'on ne peut hĂ©las pas trouver en DVD sauf en allemand des Maures 19702 h 20 min. Date de premiĂšre diffusion 21 janvier 1970 France. 2 saisons. Action, AventuresĂ©rie avec Armand Meffre, Maurice Sarfati, Jean GavenUgly a mis 7/ d'aprĂšs le roman de Jean Aicard, c'est dans le style des feuilletons au ton rĂ©gional, comme "Gorri le diable", sauf que lĂ  c'est en Provence, avec des personnages pittoresques, "avĂ© l'assent", le bruit des cigales et Jean Gaven dans le rĂŽle du facĂ©tieux Maurin bon acteur de second rĂŽle vu auprĂšs de Gabin dans le film "le Pacha", des aventures tragi-comiques trĂšs plaisantesNoĂ«le aux quatre vents 197015 min. Date de premiĂšre diffusion 30 novembre 1970 France. DramesĂ©rie PremiĂšre chaĂźne de l'ORTF avec Anne Jolivet, Pierre Mondy, Jean-Claude CharnayUgly a mis 5/ ce feuilleton dĂ©bitĂ© par tranche de 12 Ă  15 mn chaque jour avant le JT eut un gros succĂšs, j'en ai vu des Ă©pisodes quand j'Ă©tais gosse car ma mĂšre le suivait, mais le ton mĂ©lo-romanesque ne m'intĂ©ressait pas des Lupin 197155 min. Date de premiĂšre diffusion 18 mars 1971 France. 2 saisons. Action, ComĂ©die, AventuresĂ©rie ORTF avec Georges DescriĂšres, Marthe Keller, Roger CarelUgly a mis 8/ fieffĂ© voleur mais chic et distinguĂ©, gentleman pour les dames, Georges DescriĂšres a marquĂ© le rĂŽle du hĂ©ros de Maurice Leblanc, sur la premiĂšre chanson de Dutronc "L'ArsĂšne"... ça hĂ©sitait entre le feuilleton et la sĂ©rie, la premiĂšre saison Ă©tait la plus rĂ©ussie avec aussi Roger Carel en commissaire Guerchard, des tournages en extĂ©rieurs car au dĂ©but les feuilletons Ă©taient tournĂ©s presque tous en studio et de belles voitures 1900Les Six Femmes d'Henry VIII 1970The Six Wives of Henry VIII1 h 30 min. Date de premiĂšre diffusion 1970 Royaume-Uni. 1 saison. HistoriquesĂ©rie avec Keith MichellUgly a mis 9/ les Anglais sont trĂšs forts pour les oeuvres historiques et ils aiment leur Histoire, surtout l'Ă©poque Ă©lisabĂ©thaine , ici il s'agit du pĂšre d'Elisabeth, le roi Henry VIII dont le portrait qui en est donnĂ© est bien plus proche de la rĂ©alitĂ© que la version donnĂ©e par "les Tudors"... le soin apportĂ© Ă  la direction artistique, aux costumes et Ă  la rĂ©alisation est fabuleux, et l'interprĂ©tation de Keith Mitchell est prodigieuse, un vrai feuilleton de prestige chaque Ă©pisode est consacrĂ© Ă  l'une des 6 femmesElizabeth R 19711 h 30 min. Date de premiĂšre diffusion 1971 France. 1 saison. Drame, Historique, Mini-sĂ©riesĂ©rie BBC Two avec Glenda Jackson, Ronald Hines, Stephen MurrayUgly a mis 8/ toujours soucieux de reprĂ©senter leur monarchie du passĂ©, les Anglais frappaient fort encore avec ce feuilleton prestigieux sur le rĂšgne d'Elisabeth IĂšre, avec Glenda Jackson qui Ă©tait Ă  l'Ă©poque l'actrice fĂ©tiche de Ken frontiĂšres du possible 197155 min. Date de premiĂšre diffusion 4 octobre 1971 France. 2 saisons. Science-fictionsĂ©rie ORTF avec Elga Andersen, Pierre VaneckUgly a mis 6/ assez curieux ce feuilleton, ça prĂ©figurait un peu X-Files, puisqu'il s'agit de 2 agents du Bureau International de PrĂ©vention Scientifique qui enquĂȘtaient sur des agissements criminels impliquant des dĂ©couvertes scientifiques... Pierre Vaneck y Ă©tait excellent mais le succĂšs ne fut pas au rendez-vous de ce feuilleton qui Ă©tait le seul aprĂšs "BelphĂ©gor" Ă  utiliser du fantastique
Enavant, Chevroum ! - (S16E41) - Pokémon : Noir et Blanc : Avec l'aide de ses amis Iris et Rachid, Sacha a déjoué les derniers plans machiavéliques de la
VĂ©rification des exemplaires disponibles ... OĂč trouver le document ? VĂ©rification des exemplaires disponibles ... Autre format Suggestions Du mĂȘme auteur Quand maman avait mon Ăąge, elle n'Ă©tait pas p... Livre Bonotaux, Gilles 1956-..... Auteur Lasserre, HĂ©lĂšne 1959-..... Auteur Autrement. Paris 1999 Maman Ă©tait trĂšs sage, studieuse et obĂ©issante. Elle ne bavardait jamais sauf peut-ĂȘtre avec sa voisine de derriĂšre et seulement quand elle avait quelque chose de trĂšs important Ă  dire, ce qui arrivait souvent... Merveilleux voisins / HĂ©lĂšne Lasserre Livre Lasserre, HĂ©lĂšne 1959-..... Auteur Bonotaux, Gilles 1956-..... Illustrateur Seuil jeunesse. Paris 2016 Douze doubles-pages, comme les douze mois de l'annĂ©e, au cours desquelles le lecteur observe les transformations d'un immeuble. Au dĂ©but, la vie y est tranquille, trop tranquille peut-ĂȘtre. GrĂące Ă  des indices Ă©grĂ©nĂ©s dans le text... Chargement des enrichissements...
\n \n que la jeunesse Ă©tait belle en noir et blanc
KUYvju.
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